Le 1er novembre, j’ai participé au Lyon Urban Trail, sur le format 30 km. Une course exigeante mais magique, au cœur de la ville lumière, parfaite pour tester les jambes avant la SainteLyon.
Départ dans le premier sas
Le départ s’est fait dans une ambiance électrique. J’étais dans le premier sas, bien décidé à imprimer un bon rythme dès les premiers kilomètres.
Le temps était idéal : frais, sec, parfait pour courir. Ma frontale bien ajustée, j’étais prêt à affronter les montées et escaliers légendaires de Lyon, de Sainte-Foy les Lyon à Fourvière.
La pluie, les doutes… et la persévérance
Après environ deux heures de course, la pluie s’est invitée. Les pavés sont devenus glissants, la boue a fait son apparition, et les premiers doutes ont commencé à se faufiler dans la tête.
Mais je me suis accroché. J’ai choisi de garder le cap, de maintenir le rythme. Pas question de lâcher maintenant : chaque foulée me rapprochait un peu plus de l’arrivée.
Les 5 derniers kilomètres : un combat
Les cinq derniers kilomètres ont été les plus durs. Les escaliers s’enchaînaient sans fin, et la fameuse montée de la Sarra m’a paru interminable. Entre la boue et les glissades, c’était un vrai enfer vertical !
Mais c’est aussi pour ça qu’on aime ce genre de course : le goût de l’effort, l’envie de se dépasser, et cette satisfaction immense quand on atteint le sommet.
Finisher heureux et bière méritée
J’ai franchi la ligne d’arrivée sans blessure, épuisé mais heureux. Cette édition nocturne du Lyon Urban Trail restera un grand souvenir : l’ambiance, les lumières sur la ville, les encouragements des bénévoles, et cette bière bien méritée à l’arrivée, goût de victoire et de bonheur simple.
Prochaine étape : cap sur la SainteLyon !
